YSL, la classe absolue

En tant que fan inconsidérée de la marque et professionnelle de la communication, je me devais de rendre hommage à YSL qui vient de comprendre (un peu après ses petites copines Chanel et Dior) que Luxe et Internet peuvent faire bon ménage et que surtout une marque de Luxe a tout à gagner en s'ouvrant à son public.

A l'occasion de son 5è MANIFESTO, la marque vient de mettre en ligne un très beau site Internet dédié et développé divers outils 2.0 comme une page Facebook, un compte Twitter, un code embed du site... Les fans peuvent ainsi dialoguer avec la marque et apprécier les contenus riches qu'elle a à leur offrir.

Le Manifesto a été distribué samedi dernier dans les rues de Paris, Hong Kong, Londres, New-York, Seoul, Tokyo et Milan. Si vous l'avez raté comme moi, vous pouvez le télécharger en ligne sur le site.

Cette superbe campagne est signée par l'agence Petronio Associates. Moi je leur dis Bravo !

Les photographes de la campagne ne sont autres que les très branchés Inez Van Lamsweerde & Vinoodh Matadin.

J'y étais (enfin Konbini)

Si vous n'avez pas encore vu l'expo de la Fondation Cartier "né dans la rue" sur l'art du graffiti, rendez-vous sur konbini, épisode 21 (vous vous souvenez de cette web TV branchée dont je vous parlais il y a quelques temps dans le post "God save the green"). La chronique "j'y étais" nous fait découvrir l'exposition au travers d'interviews de visiteurs triés sur le volet. On ne voit quasiment pas de graffs dans le reportage (ouf, sinon on n'aurait plus besoin de se rendre à l'expo). En revanche, les interviews ouvrent le débat : le graffiti est-il de l'art contemporain aujourd'hui ? Reste-t-il un art de la rue ?

Je n'ai pas toujours été sensible aux graffitis. Trop difficile pour moi de reconnaître un bon d'un mauvais. J'aime ou j'aime pas. Et vous ?

A découvrir également le site de la Fondation Cartier réalisé par spill.net (qui ont réalisé le site de Colette)

Petit message à caractère personnel destiné à konbini : à quand les vidéos embedables ?